Dès l’origine, le secteur fédéral des services s’est voulu une réponse à un monde aux nouvelles formes, parfois sauvages, du travail.

Formes inédites illustrées par les nouvelles technologies, lesquelles concourent, comme vous le savez, à « l’éclatement » du temps et de l’espace professionnel.

Des salariés souvent très dispersés, isolés et donc toujours plus « individualisés ».
Car pour le patronat, le salarié doit devenir un « individu autonome », indépendant et pleinement responsable de sa vie professionnelle.
La dérégulation des conventions collectives permet dorénavant à un pseudo-droit mou de régir les relations sociales au sein de l’entreprise.

Ce qui caractérise les métiers du service malgré leur diversité apparente, c’est la similitude des méthodes employées pour arriver à ces nouvelles conditions de travail.

Militants dans l’intérim, l’informatique ; l’ingénierie ; les bureaux d’études et cabinets de conseil ; les centres d’appel, l’animation force de vente ; les professions de l’immobilier ; la formation professionnelle ; le tourisme…

– Un syndicalisme FO adapté, en phase avec les modifications et le développement des nouvelles formes du salariat et de leurs particularités

– Un syndicalisme FO de proximité dans lequel les salariés peuvent s’informer, se former, se retrouver pour développer leurs revendications communes

– Un syndicalisme FO qui rassemble pour constituer une force dans la négociation collective pour obtenir des droits nouveaux

 

– Un syndicalisme FO placé sous le signe de la créativité, de la vitalité, de la nécessité, et du refus du fait accompli !

 

Organigramme
Force Ouvrière

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